ITW : Rencontre avec A Call At Nausicaa
Ce mercredi 6 avril, une véritable fournaise prendra possession du Krakatoa : A Call At Nausicaa y fêteront leur « Grand Feu », nouvel EP 5 titres sorti le mois dernier. Emmené par Jean Grillet, le groupe a répondu à quelques questions, histoire de nous mettre l'eau à la bouche avant leur Release Party de demain.
Bonjour Jean, peux-tu rapidement nous présenter le projet A Call At Nausicaa ?
A Call, c'est 5 personnes qui se sont retrouvées autour d'une envie de travailler des chansons et d'y marier leurs patrimoines folk, moderne et classique.
Votre EP « Grand Feu » est sorti le 7 mars dernier sur le label Velvet Coliseum. Vous annoncez ce 5 titres comme un disque laissant de côté la folk de vos débuts. En quoi peut-on sentir ce virage ?
On a eu envie de travailler des sonorités plus synthétiques, contrairement à notre premier EP qui était très acoustique, et proche de nos débuts. Sur "Grand Feu", le son a changé, les voix sont moins brutes, on s'est amusés à mettre des synthés un peu partout. On a quand même voulu garder notre approche d'écriture de la musique, un peu orchestrale. Ce qui ne change pas non plus, c'est que les sujets les plus graves sont traités d'un air le plus léger possible.
Vous fêterez ce nouvel opus au Krakatoa mercredi soir, veux-tu bien nous parler du déroulé de cette belle soirée en perspective (sans aucun "spoil", naturellement) ?
On a préparé pas mal de trucs ! Déjà, on a la chance d'avoir d'avoir Thomas Skrobek qui fera les inter-concerts, en forme d'itinérance. Ensuite, Sahara, un des plus beaux projets que je connaisse, ouvrira sur la grande scène. Nous passerons ensuite l'épreuve du Grand Feu. Il y a d'autres choses, mais… chut.
La récente parution de votre clip « Who Loves » est sur le point d’atteindre les 15 000 lectures sur YouTube. Selon toi, est-ce le titre qui représente le mieux le projet ?
Il est représentatif de ce que le groupe est ou a pu être. Un Polaroïd d'un moment. C'est une chanson qui soulève une question importante, la question de l'amour, pour quelqu'un, pour une famille, pour le monde… Et comment notre façon d'aimer et de haïr peut être représentative de ce que nous sommes. Ce que Dorothée Pierson (Déraisonnable) a très bien retranscrit dans le clip. Ces questions sont omniprésentes dans les chansons. Aujourd'hui nous composons la suite du projet dans une approche encore différente, et nous en proposerons les ébauches mercredi. Pour finir, comment vous est venue l’idée de publier des tutos chorégraphiques de vos morceaux sur votre page Facebook (au passage, très chouettes costumes !) ? Quels costumes ?! En fait, c'est parti d'une vidéo purement géniale sur YouTube où un suédois (?) fait un tuto très sérieux de danse disco. La classe. Il y a une grande part d'auto dérision là dedans. On voulait faire un truc débile. Pour être franc, on en a prévu d'autres…
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Bonjour Jean, peux-tu rapidement nous présenter le projet A Call At Nausicaa ?
A Call, c'est 5 personnes qui se sont retrouvées autour d'une envie de travailler des chansons et d'y marier leurs patrimoines folk, moderne et classique.
Votre EP « Grand Feu » est sorti le 7 mars dernier sur le label Velvet Coliseum. Vous annoncez ce 5 titres comme un disque laissant de côté la folk de vos débuts. En quoi peut-on sentir ce virage ?
On a eu envie de travailler des sonorités plus synthétiques, contrairement à notre premier EP qui était très acoustique, et proche de nos débuts. Sur "Grand Feu", le son a changé, les voix sont moins brutes, on s'est amusés à mettre des synthés un peu partout. On a quand même voulu garder notre approche d'écriture de la musique, un peu orchestrale. Ce qui ne change pas non plus, c'est que les sujets les plus graves sont traités d'un air le plus léger possible.
Vous fêterez ce nouvel opus au Krakatoa mercredi soir, veux-tu bien nous parler du déroulé de cette belle soirée en perspective (sans aucun "spoil", naturellement) ?
On a préparé pas mal de trucs ! Déjà, on a la chance d'avoir d'avoir Thomas Skrobek qui fera les inter-concerts, en forme d'itinérance. Ensuite, Sahara, un des plus beaux projets que je connaisse, ouvrira sur la grande scène. Nous passerons ensuite l'épreuve du Grand Feu. Il y a d'autres choses, mais… chut.
La récente parution de votre clip « Who Loves » est sur le point d’atteindre les 15 000 lectures sur YouTube. Selon toi, est-ce le titre qui représente le mieux le projet ?
Il est représentatif de ce que le groupe est ou a pu être. Un Polaroïd d'un moment. C'est une chanson qui soulève une question importante, la question de l'amour, pour quelqu'un, pour une famille, pour le monde… Et comment notre façon d'aimer et de haïr peut être représentative de ce que nous sommes. Ce que Dorothée Pierson (Déraisonnable) a très bien retranscrit dans le clip. Ces questions sont omniprésentes dans les chansons. Aujourd'hui nous composons la suite du projet dans une approche encore différente, et nous en proposerons les ébauches mercredi. Pour finir, comment vous est venue l’idée de publier des tutos chorégraphiques de vos morceaux sur votre page Facebook (au passage, très chouettes costumes !) ? Quels costumes ?! En fait, c'est parti d'une vidéo purement géniale sur YouTube où un suédois (?) fait un tuto très sérieux de danse disco. La classe. Il y a une grande part d'auto dérision là dedans. On voulait faire un truc débile. Pour être franc, on en a prévu d'autres…